Lune A. 
 |  Sujet: Lune Arasuta.  Jeu 15 Avr - 18:41 | |
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Nom :: Arasuta.
Prénom :: Lune.
Sexe :: Féminin.
Orientation sexuelle :: Hétérosexuelle, peut être bi ? Elle ne le sait pas elle n'a jamais aimé. Même si au fond un sentiment d'amour brisé réside.
Date de naissance & âge :: Née le 10 mai 1991 - 19 ans
Métier :: Serveuse au Rendez vous des Anges. |
Description Physique ::
Lune n'est pas le genre de fille a être très grande. Elle ne s'est jamais vraiment mesurée car pour elle la taille n'a pas vraiment d'importance, comme elle le dit si bien, cela ne changera pas vraiment ma vie de savoir a combien de centimètres je m'éloigne de mes pieds. Quoi qu'il en soit elle mesure environ un mètre soixante mais ce n'est pas parce qu'elle est petite qu'elle passe inaperçue. Elle a un visage fin d'une couleur de peau hâlée grâce a sa mère d'origine Italienne, quand a ses yeux d'un puissant vert émeraude elle les tiens eux aussi de sa chère maman. Puisqu'on en est a ses yeux, parlons en, ils sont étranges car ils sont en forme d'amende légèrement bridés caractéristique de son père japonais. Son cou est longiligne sans pour autant lui donner des airs de girafe, elle possède de très fines lèvres légèrement rosées qu'elle passe son temps a mordiller. Du côté droit de cette lèvre elle est percée, labret décalé droit. Les cheveux de lune sont long, lisse et noirs comme le charbon, un autre avantage (ou inconvénient) d'un parent japonais, elle aime se coiffer pour en faire un chignon ou des petites coiffures amusantes et enfantines, quand elle n'a pas le temps elle les laisse tout simplement long et tomber sur ses épaules. Descendons sur son corps maintenant. C'est une femme et on le vois, Lune est une jeune femme féminine et jolie, elle le sait mais n'en profite pas, elle possède une jolie poitrine, un ventre plat du a sa minceur qui la complexa toute son enfance et son adolescence, si vous saviez combien de fois la nuit elle priait pour que le lendemain elle prenne du poids, mais jamais son vœux ne fut exaucé. Elle abandonna alors ses idées de grossir et commença a penser que avoir un beau corps n'était peut être pas une si mauvaise chose que ça. Ce qui la dérangeait le plus c'était qu'elle n'était pas la seule a voir que son corps était beau, les garçons aussi. Pendant longtemps elle ne s'habilla que de vêtements larges pour cacher ses formes, sa garde robe était essentiellement constituée de noir ou de couleurs sombres, il faut dire qu'elle ne s'assumait pas. Autour d'elle il n'y avait que des hommes et des corps masculins, elle aurait bien aimé en avoir un un peu plus carré et plus rembourré de corps elle aussi. Mais ça elle devait le laisser aux hommes. C'est a dix sept ans qu'elle commença a s'assumer et s'habiller comme une fille. Ce n'était qu'en fait une période de l'adolescence. Maintenant elle porte volontiers des jupes et des robes, et porte rarement de pantalons, sauf en hivers où il fait trop froid pour porter des choses légère. Il faudra quand même attendre ses dix huit ans pour qu'elle ose porter des vêtements moulants. Maintenant elle le sait, elle est une femme, elle est belle et elle en profite.
Description Mentale ::
Le sale caractère des Italiennes : Lune est toujours en train de râler, elle n'est jamais contente de ce qui se passe autour d'elle, elle n'est pas du genre a s'extasier devant un bébé, ou même un petit chien, elle regarde les gens un peu de haut, ce n'est pas qu'elle se sent supérieure a eux, c'est juste qu'elle est une jeune femme très fière et qu'elle ne peut s'empêcher d'être ainsi. Elle a aussi hérité du côté colérique de sa mère, il suffit qu'un détail la chagrine, la contrarie même rien qu'un petit peu pour qu'elle pique une crise de colère et qu'elle se mettre a hurler et a taper sur la première chose qui lui passe sous la main. Son père était d'abord effrayé de ce côté de caractère mais il a fini par s'habituer a ses crises et sait même comment y faire lorsqu'elle est ainsi pour la calmer et la faire rire. Sa première véritable crise de colère qui fut violente c'était quand elle avait a peine dix ans, Julien son demi frère lui avait prit son déguisement de pirate et l'avait détruit en disant qu'une fille normale devrait ressembler a une princesse et non a pirate. Chaque choses devaient être a sa place.
« Mais moi je veux bouger les choses de leurs places... »
Lune avait simplement rétorqué cela d'une voix froide et distante, mais le garçon de treize ans s'était contenté de lui rire au nez. Lune s'était mise a hurler comme une possédée et lui avait sauté dessus en le tapant aussi fort qu'une petite fille de dix ans en était capable. Résultat Thomas son beau père avait du les séparer et punir la petite fille qui était encore plus énervée. Julien lui était bien content de son coup. Depuis ce jour, Lune est constamment de mauvaise humeur elle ne se souvient pas d'avoir eu de grand éclats de rire avec des amis, amis d'ailleurs inconnus, elle est pourtant certaine d'avoir eu un ami très proche un jour, mais impossible de remettre un nom sur ce tas flou qui hante son sommeil. Sûrement son imagination qui lui joue des tours car la jeune femme est une solitaire et apprécie que très rarement la compagnie des gens.
La douceur des Japonais : Lune est malgré tout quelqu'un de très sensible, elle le cache bien évidemment, elle est perturbée par le fait d'avoir été élevée par deux hommes, pour elle c'était normal, c'est quand elle a commencé a voir que ce n'était pas normal pour les autres qu'elle a commencé a se poser des questions sur une vie meilleure. Elle est rêveuse mais n'en montre rien, elle a aussi des problèmes de concentrations, et rêve de liberté totale. Elle n'a jamais eu de petit ami , ni de réel ami. Elle aime passer du temps avec son père qui est pour elle son unique famille. Elle aime l'aider dans son épicerie, la famille est pour elle quelque chose de très important et elle ferait n'importe quoi pour qu'il soit fier d'elle. Elle est très autonome et autoritaire mais souffre vraiment de l'absence de sa mère, même si elle n'en montre rien, Lune n'est pas du genre a exposer ses problèmes a la terre entière, elle n'est pas du genre a demander de l'affection ni même a en donner a quelqu'un qui en demande. Elle est pourtant très gentille, mais elle a quelques blocages encore inconnus qui l'empêchent de pouvoir vivre librement et sans danger.
Histoire ::
I - Un couple destiné a ne pas fonctionner.
Maria est une Italienne pure et dure, pour rien au monde elle ne quitterait son Italie. Elle n'est pas tendre bien au contraire, elle aime taper les gens et s'énerver pour un rien, c'est dans ses gênes dans son sang, elle n'y peu rien. Pourtant elle est belle, elle a de grand yeux verts a en éblouir plus d'un, mais son sale caractère les fait tous fuir, ce n'est pas grave se dit elle, aucune importance. Elle n'a pas besoin de ces femmelettes comme elle les appelle, elle a besoin d'un homme un vrai, un qui n'aurait pas peur de ses crises de folies, un qui saurait calmer la rage qui bouillonne en elle. Elle fait des études de droit, elle veut devenir une grande avocate, ses parents sont riches, elle a tout dans la vie, mais se sent pourtant bien seule malgré les apparences.
Keito est un Japonais modeste, il n'est pas le plus beau de tout les hommes, il a pas mal de défauts mais il est incroyablement patient et gentil, il ne juge pas les gens, il est sensible, il aime la vie, dès son adolescence il veut former une famille et partir loin du Japon, il veut s'en aller voir du monde et faire fortune loin de cette misère. Il a donc apprit le Français. Il est bien trop naïf, il croyait qu'en arrivant en France il serait un homme riche, mais bien au contraire, c'est a peine s'il arrive a payer son petit appartement, il ouvre une épicerie à a peine dix neuf ans, et vend les divers produits de son pays dont certains Français sont friands. Cela ne le rend pas plein aux as, mais au moins il a de l'argent et peut vivre modestement. Il n'est pas dans la pauvreté.
Quand Keito et Maria se sont rencontré, ils se sont disputé, et oui tout commença par une dispute. C'était un matin d'hivers, Maria était en voyage en France et buvait un café sur une terrasse d'une petite brasserie bien mignonne, Keito lui faisait des heures supérieures pour gagner un peu plus d'argent et espérer avoir un meilleur logement, seulement, être serveur ce n'est pas son fort, et au moment de servir le troisième café de la belle Italienne, le maladroit fit tomber sa tasse sur le pantalon de cette dernière. Bien évidemment elle se leva et lui tenta de l'essuyer en bredouillant des excuses miteuses. Elle le gifla et lui hurla dessus avec son mauvais Français.
« Mamamia tous les mêmes cétilà ! Immm'bécil' por'qui té prend tu ? »
Il leva les yeux sur elle, et lui sourit. Son accent le faisait rire, elle l'agressa encore plus, lui demandant ce qu'il avait a sourire aussi bêtement, il se redressa il ne la quittait plus des yeux, c'est a cet instant précis qu'il se rendit compte a quel point elle était belle. Ses yeux verts le transperçait, elle le gifla encore, et il ne cilla pas. Sa joue lui lançait pourtant, elle était rouge pivoine, mais il s'en fichait, il venait de flasher sur cette jeune femme.
« Vous êtes si belle... »
Et c'est comme ça que tout commença. Elle avait rit a son tour, sa façon de parler l'avait amusé aussi. Elle avait aimé la manière qu'il avait de passer d'un sujet a l'autre, de ne pas se concentrer sur une seule chose, elle aimait le voir aussi facilement dissipable. De cette petite dispute naquis un grand amour. Un peu trop rapidement surement, Keito ne voulait qu'une chose, former une famille, mais elle, elle voulait reprendre ses études. Pourtant face a cet homme elle cédait. Elle ne comprenait pas pourquoi mais elle avait changé d'école, pour venir faire ses études de droit en France et ainsi être plus proche de l'amour qu'elle considérait comme l'amour de sa vie. Il se marièrent même pas un an après. Ils étaient beaucoup trop jeunes, elle lui avait offert une petite fille. Tout était bien. Sauf quand Maria faisait ses crises de colère soudaine. Quand son mari était là tout allait bien, il avait le pouvoir de la calmer, il avait l'habitude, mais quand il n'était pas là, c'était la petite Lune qui se prenait les coups. Elle criait, se plaignait qu'a cause de lui elle avait raté sa vie, elle disait que c'était lui qui l'avait forcé a quitter son Italie et a lui faire un enfant dont elle ne voulait même pas.
C'est après une dispute similaire que Maria s'en alla en claquant la porte, Lune avait deux ans et demi et se retrouvait seule dans un petit appartement. Heureusement elle dormait dans son lit paisiblement. Maria elle, prit la voiture et roula pendant un peu plus d'une heure. Elle arriva dans une grande campagne et non loin dans une prairie elle vit un cheval. Haussant les épaules elle se dit que ça la détendrait, elle tenta de grimper sur l'animal qui effrayé donnait des coups de sabots... Quand elle réussit a enfin être sur son dos, il rua, elle tomba au sol, il rua a nouveau, le sabot s'écrasa sur son front...
II - Une nouvelle vie.
Lune était trop jeune, elle ne fut pas trop marquée par la mort de sa mère, mais Keito était abattu, c'était un échec pour lui, un échec de sa famille. Mais c'était un combattant, alors il se redressa, il se dit qu'à partir de maintenant, c'était sa fille et lui et rien d'autre ! Aucune femme ne saurait remplacer Maria. Il travaillait dur et amenait sa petite fille avec lui a la boutique Lune s'amusait beaucoup a donner des boites de divers produits aux clients qu'elle attendrissait. Un jour un grand homme aux cheveux blonds entra dans le magasin suivit de ses deux fils deux autres têtes blondes ils étaient similaires, des jumeaux. Lune était intriguée par ce grand monsieur, il l'effrayait vraiment beaucoup. Elle n'avait que cinq ans et il faut dire que elle était tellement petite que tout le monde lui semblait immense. Mais elle fit comme d'habitude elle fit coucou de la main et passa derrière la caisse se tenir a la jambe de son papa, attendant qu'il lui demande d'apporter les produits qui lui étaient a porté de main. Mais étrangement son père repoussa gentiment sa fille pour aller enlacer l'homme tendrement. Ils se connaissaient ? Qui était ce monsieur ? La petite fille ne comprenait pas tout mais décida d'aller jouer avec un des deux frères, il s'appelait Adrien, il était gentil celui là.
Bizarrement les trois têtes blondes vinrent a la maison, puis ils déménagèrent tous dans une maison plus grande, le monsieur blond et son papa étaient tout le temps a se faire des câlin, c'était bizarre normalement c'était les messieurs et les filles qui se tenaient comme ça. Là non c'était deux messieurs. Maintenant c'était tout nouveau Lune vivait seule avec quatre hommes.
« Chez moi y'a pas de maman, y'a deux papa ! »
Silence gêné dans sa classe. Les premiers jours d'écoles c'est toujours pareil, chaque année on dois présenter sa famille, et chaque année c'est la même chose. Silence. Chuchotements. Puis petits rires et regards en coin, puis dans l'année les remarques et les moqueries ne cessent plus. Ce n'est pas grave pour elle. Du moins au début elle ne réagissait pas, et puis ses phrases sont passées de « Bah quoi ? Pourquoi vous riez ? » a « Ta gueule connard mes parents sont gay et alors ? Tu veux que je t'en enfonce une moi, on va voir si tu rira toujours autant ! ». Au fil des années, au fur et a mesure que Lune grandissait elle était devenue de plus en plus vulgaire et s'isolait. Elle ne racontait plus qu'elle avait deux papa. Elle disait juste, mes parents. Puis bientôt elle ne parlait plus d'elle, d'ailleurs elle ne parlait plus du tout. A part a ses parents et lorsqu'on l'interrogeait. Elle aimait sa famille et elle n'appréciait vraiment pas que les autres la critique.
III – Le trou de ma vie. Comblé ici
Il y a une partie. Un moment, ou plutôt deux ans. De ses dix sept ans a ses dix neuf ans, elle ne saurait dire tout ce qui s'est passé dans sa vie, c'est comme si elle n'avait fait que travailler au Rendez vous des Anges, un petit café/bar de la ville. Elle y a été engagé après avoir passé son bac, mais après c'est le grand trou noir. Aucune idée de ce qu'il y a eu dans sa vie entre temps. C'est très perturbant car elle sent une présence, elle a l'impression d'avoir vécu de nombreuses choses, elle le sent elle le sait. Mais quoi ? Ce détail la tracasse, il a deux ans de sa vie qui sont totalement effacés de sa mémoire, c'était comme si elle s'était endormie a dix sept ans, et qu'elle s'était réveillée a dix neuf ans en se sentant horriblement triste. C'est une chose vraiment horrible a vivre.
C'est a partir de là qu'elle partit a la recherche de son passé, pour combler ce vide qu'elle ne comprenait pas. Elle ne se souvenait pas non plus s'être fait ce piercing à la lèvre, et personne dans sa famille ne sut lui dire quand exactement elle l'avait fait. C'était de plus en plus étrange. Elle commença a poser des questions sur son enfance, sur son caractère. Son père et son beau père lui répondaient toujours, même parfois ses demi frères s'y mettaient. Mais la curiosité est un vilain défaut, et pour la première fois de sa vie, elle s'attaqua a un sujet bien trop délicat.
« Dis papa, elle était comment maman ? »
C'est a partir de cette simple question que toutes ses relations avec son père se détériorèrent. Jusqu'à présent elle n'avait jamais demandé a connaître sa mère, ni même a voir a quoi elle ressemblait, elle ne savait même plus son prénom, mais elle ne demandait rien. Et Keito était bien content de ça, ça lui évitait bien des ennuis, des pleurs et des mauvais souvenirs, pour lui remuer le passé était une mauvaise chose. Enfin soit, le jour de la question maudite il prétexta qu'il n'avait pas le temps de parler de cela, haussant les épaules Lune abandonna et partit dans sa chambre. La journée elle travaillait au Rendez vous des Anges, elle n'avait jamais été très forte pour les études, elle n'avait pas envie de les prolonger, avoir son BAC était déjà une très bonne chose, elle avait eu de la chance de trouver rapidement un travail, ce qui lui permettait depuis deux ans de mettre de l'argent de côté sur son compte en banque pour pouvoir prendre son propre envol. Mais maintenant chaque soir quand elle croisait son père, elle lui posait une question sur sa mère, comme si ça l'amusait de le voir rougir, comme si ça lui faisait plaisir de voir les gouttes de sueur angoissées perler sur son front. Elle n'était pas sadique, mais le fait qu'il ne veuille jamais répondre commençait lentement a taper sur les nerfs de la jeune femme.
Vendredi son jour de congé, pour une fois elle n'aide pas son père a l'épicerie, elle fait semblant d'être malade. Mais dès qu'elle est seule elle se rue dans la chambre de ses parents et fouille sous son lit. Elle sait que c'est ici que Keito a rangé toute son ancienne vie. Il n'est même pas fermé a clé, sur le coup le seul adjectif qu'elle trouvait qualifiant son père était de stupide. Elle posa ses mains dessus, elle ne l'ouvrit pas de suite, elle avait un peur de ce qu'elle pourrait trouver a l'intérieur, elle inspira un grand coup et l'ouvrit. Dedans tout d'abord un article de journal, contant la mort de sa mère. Elle s'appelait Maria, c'était un beau prénom. Elle ne lut pas l'article en entier, savoir que sa mère avait eu le crâne écrasé n'était pas la chose la plus importante qu'elle voulait savoir, elle prit ensuite une photo, c'était sa mère et dans ses bras un petit bébé. C'était surement elle. Les deux personnes avaient toutes deux de grand yeux verts. Elle savait a présent d'où elle les tenait. Mais là la porte de la chambre s'ouvrit sur son père, il avait téléphoné pour avoir de ses nouvelles mais comme elle n'avait pas répondu (a vrai dire elle n'avait pas entendu la sonnerie) il était rentré rapidement pour voir si tout allait bien. Lune ne bougeait plus, elle regardait son père, les preuves de son erreur entre ses mains. C'est là que la crise éclata. Il lui hurla dessus, il pleura, il la gifla. Il l'insulta aussi. Lune n'était pas impressionnée, elle n'avait pas envie de hurler, elle n'avait pas envie de tout casser, elle était juste blasée. Elle se demandait pourquoi il lui avait caché sa mère tout ce temps.
« Papa tait toi. Si je suis tout ce que tu dis, bientôt je ne serais plus là. »
Elle avait parlé calmement, puis elle s'était levée, et avait renversé la totalité du coffre par terre. Toute la vie d'hétéro de son père déballée dans sa chambre d'homo. Sans même un regard en arrière elle sortit de la chambre et gagna la sienne ou sur son ordinateur portable, elle loua rapidement un petit appartement non loin du centre ville. Il était rapidement libre et quelques jours plus tard elle vivait seule en ce lieu. Elle était jeune, mais sure d'elle. En deux semaine que cet incident s'était passé, elle n'avait plus adressé la parole a son père, elle ne comprenait pas sa réaction excessive, et a vrai dire elle n'avait plus parlé du tout depuis deux semaines a part a son travail. Elle se renfermait de plus en plus sur elle. Quelque chose lui manquait, comme si dans l'ombre, une lumière l'avait éclairé autrefois.
Ce matin elle eu l'impression de ressentir cette lumière en elle. Mais quand elle tourna la tête, elle ne vit qu'une plume sur son épaule.
Famille :: Un père, un beau père, deux frères.
Parents biologiques ::
Mère : Maria Concsiglio, une femme Italienne venue en France par amour, elle est grande belle et très colérique, violente et sévère. Elle fut mariée trois ans avec le père de Lune avant de mourir des suite d'une mauvaise chute de cheval à 21 ans.
Père : Keito Arasuta, homme Japonais de 39 ans venu en France pour une vie meilleure. Ses ancêtres ont tous vécus dans la pauvreté, il espérait qu'en arrivant en France il arriverait a changer cela, cependant il restera un petit épicier en vendant les produits de son pays. Il rencontra Maria quand il avait a peine dix neuf ans et lui fit un enfant très rapidement. Malheureusement trois ans plus tard il se retrouva veuf et seul avec une petite fille de deux ans et demi sur les bras. C'est un homme très gentil qui ferait tout pour le bonheur de sa famille.
Une famille recomposée ::
Père : Keito Arasuta.
Beau père : Thomas Durant, 42 ans. Un beau Parisien, qui rencontra Keito un jour et ce fut le coup de foudre entre les deux hommes, il avait déjà deux fils des jumeaux de trois ans les aînés de Lune. Il considéra tout de suite Lune comme sa propre fille.
Demi frère : Adrien Durant, jeune homme de 21 ans, il est le frère jumeau de Julien ils sont tout a fait semblables sauf que contrairement a son frère il est très proche de Lune et la considère comme sa petite soeur, il assume totalement le couple d'homosexuel qui lui sert de parents.
Demi frère : Julien Durant, jeune homme de 21 ans, il est le frère jumeau de Adrien, il a un mauvais caractère, il se drogue et bois, n'accepte pas du tout Lune ni Keito, il les renie et fait tout pour leur pourrir la vie, juste parce que ça l'amuse et que pour lui c'est de la faute de Lune et Keito si son père est homosexuel.
~Vous~
Pseudo :: Aiko.
Comment avez vous connu le forum :: J'suis l'un des deux Fonda' =D
Votre avis sur son graphisme :: Bouuuh nul ! Nan je rigole, parfait ;]
Ainsi que sur son contexte :: Je dois vraiment donner mon avis ?
Présence sur le forum :: Autant que je pourrais normalement je passe tous les jours.
Un second compte? :: Nop' !
Code caché :: Validé by Lune.
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