Nom : Kuroboshi

Prénom : Ayane

Sexe : Féminin

Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Date de naissance : Le Trois Avril Mil neuf cent soixante cinq

Véritable age : À peu près quarante-cinq ans

Age en apparence : Dix-huit, dix-neuf printemps

Métier : Etudiante, si l'on puis dire. Ce n'est pas l'assiduité qui la tuera, dans tous les cas, mais le temps libre est son dada.


À première vue, quelques mots pourraient suffire pour décrire la jeune fille. Mais pas vite, quelques contrastes naitraient en la regardant davantage. Rien qu'en commençant par ce critique général de beauté, il y aurait de quoi être surprit. Ayane peut apparaître comme une simple poupée de cire au premier abord, d'un style froid, monotone et bien trop sobre pour attirer l'oeil. Pourtant, au-dela de ce préjugé grotesque se cache une jolie petite créature angélique.
Avec son mètre soixante-douze qui fait qu'elle n'est ni trop grande, ni trop petite, elle affiche des jambes fines et fortes, surmontées d'un buste mince comme si elle n'avait rien mangé depuis étant toute gamine. Ce n'est pourtant pas le cas, ce qui est aisément devenable, puisque sa consistitution, frêle en apparence, n'en est pas moins assurément femme. Jeune femme, peut-être. Ce ne sont pas ses muscles modérément développés qui affirmeraient qu'elle n'est plus une enfant, ni sa poitrine rajoutant des courbes délicates à son corps tirant fourbement sur le plat. En gros, elle est loin d'être grosse, mais assure quand même suffisamment de ce côté pour prouver qu'elle est une demoiselle véritablement matûre. Ses formes jeunes lui font finalement perdre un peu le décompte des années, et lui donnent un côté mignon et fragile qui peut avoir bien du mérite dans moult circonstances.

Ayane a également une peau de lait, rajoutant à son allure juvénile, et marquant certainement facilement sous les coups qu'elle aurait pu recevoir. Ses cheveux régulièrement en bataille, d'une couleur incertaine tirant sur le bleu cachent une partie de son doux visage. Son regard est d'autant plus sombre, insistant, presque inquisiteur. Il ne cille qu'en de rares occasions et plonge facilement sur l'objet de sa contemplation. Son petit nez fut habilement placé sur son visage, descendant sur sa bouche aux fines lèvres qu'elle aime mordre parfois, en signe d'amusement. Ses oreilles, quant à elle, sont généralement dissimulées derrière ses mèches partant à vau-l'eau. Il ne reste à parler que de ses mains, dignes de son statut d'ange, douces à souhait, petites et dotées de doigts adroits.
La description pourrait s'arrêter là, si l'on n'évoquait ses ailes d'une couleur oscillant entre la cire et la neige. Bien entretenues, elles ont toutefois tendance à tomber, fanant comme une fleur manquant de lumière, d'eau et d'attention. Ils paraissent victimes d'une lourdeur mystérieuse, comme si le poids d'un passé difficile à porter s'abattait sur elle.

Et enfin, pour quelques détails supplémentaires, il faudra parler brièvement des tenues qu'elle aime porter. Ayane a une allure élancée, vous l'aurez compris. Ses formes se mettent elles-même en valeur, tant par leur finesse que par la délicate façon dont elles apparaissent aux yeux des autres. On aurait presque envie de la toucher pour s'assurer qu'elle ne va pas se briser comme du verre. Mais c'est aussi parce que la jeune fille agrémente tout cela de vêtements bien loin d'être amples. Habituées aux uniformes que l'on pourrait dire sportifs, agréables, lui permettant une grande liberté de mouvement, elle aime à laisser son corps aussi dénudé que possible. C'est pourquoi ses épaules sont rarement recouvertes, tout comme ses bras fins et ses jambes infiniment agréables à regarder. Elle choisirra alors souvent un bustier pour s'assurer de se tenir droite, agrémenté d'une jupe ou de quelque chose d'assez court. Puis ses bas descendent lentement jusqu'à ses pieds recouverts de petites chaussures à talon, ou de sandales à la limite.
Quoi qu'il en soit, l'ange ne se préoccupe pas outre mesure de son apparence, s'assurant simplement d'avoir l'air aussi digne qu'il se doit de son rang. Elle fait toujours preuve d'une grande prestance, peu importe le moment et la manière dont elle se présente. Et quiconque dira le contraire aura à subir son courroux.


Parce que oui, Ayane n'est pas du genre à se laisser faire. Sa fragilité ? Une absurdité que les humains, aussi bien que les anges, ont cru bon de souligner. Pourtant, il n'en est rien. Derrière l'apparence, que d'aucuns aiment à admirer sans aller plus loin, se cache un personnage particulier et d'une force à ne pas mettre en doute. La première chose qui peut frapper, lorsque l'on découvre un peu la demoiselle, c'est peut-être sa froideur. Elle est d'un sérieux étonnant, presque permanent, qu'il est difficile d'outrepasser. Ses mots, rares, ne sont que le reflet de cela. En effet, elle n'est pas du genre à parler pour ne rien dire. Et si ses propos sont choisis avec attention, c'est parce qu'elle se sait être une représentante de Divinity. Elle avoue même n'être que l'instrument de son pouvoir, une soldate dévouée et prête à la servir jusqu'à sa mort. La loyauté d'Ayane ne fait aucun doute, et c'est en partie de ce fait que son caractère peut sembler si stéréotypé, conditionné, à première vue. Pour elle, l'intérêt des anges passe avant tout, ce qui la pousse à se montrer particulièrement médisante envers tout ce qui va à leur encontre. Ainsi, les cerbères et leur philosophie sont loin de lui plaire. Elle leur préfèrera toujours le bien sacré et divin de la mère créatrice.

Le caractère de cette ange-ci est donc particulier, sans être excessivement complexe, en fin de compte. Si sa vie a toujours été intéressante, bonne et bien menée, c'est sans doute parce qu'elle a toujours suivi la même voie, la menant à devenir une entitée renommée, reconnue et appréciée de tous. Bien qu'il existe des choses qu'elle n'aime évoquer trop souvent en ce qui concerne son passé, et qui pourraient bousculer son existence bien plus qu'elle ne l'accepterait, elle tient à rester de marbre face au temps qui passe et aux expériences vécues.
Sa rigidité en fait un être protecteur plus utile qu'agréable, exempte de passion la plupart du temps. L'amitié n'est pas vraiment de son ressort, et elle se montre plutôt distance envers tous ceux qui pourraient l'approcher de trop près ou chercher à en savoir davantage sur elle. À vrai dire, elle est une ange très discrète quant à sa vie privée et se contente facilement d'évoquer ses missions, son statut, son rôle, plutôt que de dévoiler toute son histoire. Elle peut donc devenir une camarade de travail, une relation loin d'être proche, mais ne se liera jamais plus que ne le requiert l'usage.

Pour entrer un peu plus dans les détails, puisque nous n'avons fait ici que survoler le personnage distraitement, il faut dire qu'Ayane est une jeune fille revêtant une carapuce. Derrière sa bulle, protégée du monde extérieur par un voile la présentant comme une demoiselle brillante, intelligente et presque parfaite, à qui tout réussi, se cache une petite fille qui n'a pas eu l'enfance de ses rêves. Parce qu'elle a tout eu, et que le monde s'est montré trop tendre avec sa petite personne, que ses parents l'ont gatés au point qu'elle en devienne presque exigente telle une petite reine, l'angélique femme a du prendre beaucoup de recul pour apprendre à vivre par elle-même. Elle s'est rendue compte de sa petite existence dorée et en veut assez à sa famile de s'être montrée si douce avec elle, en lui plantant finalement un couteau dans le dos avec fourberie. Car oui, Ayane aurait voulu pouvoir se faire elle-même, et nier toute implication de ses proches dans sa vie. Elle aimerait tout savoir sur son compte, et notamment sur ce qui lui a été plus ou moins caché. Finalement assez arrogante, fière de ce qu'elle est, et plus ou moins imbue d'elle-même, elle fait ce qu'elle veut et n'entretien de relation avec sa famille que lorsque cela s'avère nécessaire. Couper les ponts fut sa principale manière d'agir et elle ne regrette rien. En fait, une seule chose la préoccupe vraiment à ce niveau, le destin de son frère qu'elle n'a que trop peu connu. C'est en partie pour cela qu'elle en veut à sa mère et à son père, qui n'ont su le retenir et lui enseigner des règles suffisamment bien pour qu'il ne quitte pas le droit chemin. Selon elle, ils ont failli à leur tâche de parents et ont perdu son estime. Ils n'auraient pas du la considérer comme une princesse et s'occuper davantage de leur fils, pour que celui n'ait pas à subir la honte de la déchéance.

Le dernier trait de caractère de la jeune fille est des plus paradoxaux. Consciente de son sort, de l'état du monde et de la situation dans laquelle elle évolue, Ayane est devenue certainement plus renfermée sur elle-même, plus froide, mais d'autant plus acerbe et ironique. Lorsque cela lui prend, et qu'elle se retrouve dans des circonstances données, elle se laisse aller à oublier temporairement quel est son but et refoule un instant son conditionnement le plus intense. Son attitude devient alors bien plus légère, moins sérieuse. Se jouant de l'absurde, prenant les problèmes et individus avec dérision, elle peut se montrer hautaine et plus assurée que jamais. Dans ces moments, l'ange se montre plus amusée des choses et n'hésite pas à évoque cette part cachée de sa personnalité, à la fois dégagée, désinvolte et presque obscène. Ses traits habituellement rigides ou graves, exprimant son tempérament sage et posé, deviennent plus chaleureux, sans qu'elle perde son calme pour autant.
Jamais personne ne l'a jamais vue sur les nerfs, à vrai dire, et ce n'est pas près d'arriver. Mais sa prudence naturelle, lorsqu'elle tombe, laisse place à une sorte de déraison réfléchie, choquante et apte à en troubler plus d'un.

Voici l'histoire merveilleuse d'une charmante jeune fille devenue le bras armé de Divinity, d'une demoiselle aussi singulière que typiquement angélique, victime de son propre destin.

Celle-ci, née il y a de cela un peu plus de quarante ans, a grandit dans le foyer le plus tendre et doux qui puisse exister. Fille des anges, ange à son tour, elle ne pouvait rêver mieux. Son enfance dans le coton, bercée au rythme des nuages et du temps qui s'écoule avec une lenteur infinie, fut la plus belle des histoires. Mais il faut parler d'histoire courte, de nouvelle, voire d'un unique chapitre d'un roman qui en compte de bien nombreux. Ce n'était que le prélude.
Si le fait de grandir dans des draps de soie pouvait avoir pour habitude de faire des enfants arrogants, imbus de leur personne et caractériels, ce n'était pas forcément le cas pour elle. Du moins, ce ne serait qu'un trait en demi-teinte, une petite touche ressortant de temps à autre. Ayane était rapidement devenue une petite fille gentille, réfléchie, curieuse de tout et attentive. Elle ne devait nullement décevoir ses parents, et leur apportait sûrement davantage de bonheur qu'ils n'en avaient espéré. Mais peut-on réellement attendre que quelque chose de parfait se manifeste dans ce monde et apporte davantage de plaisir encore ? Comment les anges voient-ils cette notion si abstraite du désir, du ressentir, du bien et de l'appréciation ? Sont-ils donc si proches des humains ? Il semblerait bien que quelque chose leur échappe. Jamais ils ne pourront saisir l'essentiel de ce qu'est une vie aussi éphémère et incertaine que celle d'un homme ou d'une femme terrestre.
Il semblait que la jeune fille devrait comprendre cela, au fur et à mesure qu'elle grandissait. En fait, le devoir des anges ne pourrait jamais être totalement parfait. S'il devait l'être, il l'aurait été. La toute-puissante Divinity y aurait veillé. Le mal demeurait pourtant quelque chose de nécessaire, de plus véritable que tout le reste. En en devenant consciente, la gamine bientôt devenue une fille épanouie se demanda ce qu'elle devrait faire. Le choix ne lui était toutefois pas permis. Alors il lui fallut s'assurer que cette vie serait bonne et ne nuirait à rien ni personne. Le mal était et continuerait d'être ce qu'il y avait de plus humain et obligatoire, mais elle devrait lutter contre. Drôle de dilemme.
Tout le monde était clair à ce sujet, cependant. Il ne servait à rien de douter des choses établies. La jeune ange serait une gardienne hors du commun, tout simplement parfaite, et ne remettrait jamais en doute les fondements de la cohabitation des divins. La période de réflexion d'Ayane devait prendre fin aussitôt qu'elle avait commencé. L'évidence s'imposait, qu'elle le veuille ou non. Elle était née pour servir et devait être fière de cela. Dorénavant, toutes ses pensées se tournèrent donc vers cet avenir irréfutable qui était le sien. Un jour viendrait, elle devrait protéger des humains elle aussi et veiller sur eux. Ce jour venu, elle ne devrait plus être ébranlée par quoi que ce soit. Il lui fallait devenir ferme et forte. Son caractère s'assombrit légèrement, sa douceur se fit moindre, son calme plus pur. Mais ce n'était que pour affronter le court des évènements avec une fausse sérénité...

Son frère. Parlons-en, tiens. Elle devait avoir une dizaine d'années, lorsqu'il disparut totalement de sa vie. Etait-il son frère, finalement ? Les liens du sang ne justifient pas tout. Ils n'avaient jamais était bien proches, de toute façon. Durant toute sa jeunesse, Ayane aurait pu être dans l'ombre de celui-ci. Il était un symbole de réussite, la preuve que sa famille méritait d'être respectée et reconnue comme étant une grande lignée. D'abord Tsubasa, puis Ayane, une descendance semi-divine impeccable. Tout cela, c'est que l'on avait essayé de lui faire croire.
Son frère, celui qui partageait un même liquide vital et une destinée probablement similaire sinon proche, n'était en fait qu'une ombre, pour elle. Comment donc aurait-elle pu craindre quoi que ce soit de lui ? Aurait-elle pu vivre comme un fantôme, ridicule devant la splendeur de son succès ? Certainement pas. L'aurait-il protégé par ses résultats, sa chance, son triomphe en tant que fils presque-parfait ? Encore moins. Il n'était rien, n'avait jamais rien été ni fait pour elle. Ce pseudo-frère n'était qu'un simulacre, un être parmi d'autre dont il n'existait que des images. Aux yeux d'Ayane, il était invisible. À ceux des autres, il était invincible. Au bout du compte, il demeurait indicible. La demoiselle n'avait rien à dire de lui. Son esprit s'engourdissait à l'évocation de son prénom. Elle en avait trop entendu et si peu vu que rien ne pouvait être réel. Alors elle avait eu toute sa place, en fin de compte, pour grandir sans lui. De Tsubasa, il ne restait qu'une absence, l'amertume et la rancune. Un jour, peut-être, elle pourrait avoir le plaisir de lui cracher au visage tous ces mots qui ne viendraient pas. Elle lui dirait combien il était insignifiant et ridicule pour elle. Ce n'était pas un frère, ni quoi que ce soit qui puisse s'en rapprocher. Juste un inconnu auquel elle avait pensé parfois et uquel elle s'était attaché avec un dérision folle. L'insignifiance avait vraiment trop de place dans sa vie.
Restant alors la petite princesse de ses parents, connaissant une jeunesse pleine de réussite, elle arriva lentement mais sûrement à l'âge d'exercer ses talents. Quinze années, âge fatidique, âge cruel et plein de désillusions pour certains. Pour d'autres, comme elle, il fut un soulagement. Elle se trouva libérer de son cocon de douceur irréelle. De nouvelles responsabilités lui tombèrent dessus, sa descente commença. Non pas vers les enfers, mais vers une existence bien plus instructive et mouvementée. Il fallait quitter le jardin d'Eden...

La partie la plus longue de cette histoire est pourtant la plus rapide à comprendre. Ayane était un ange. De ce fait, elle ne pouvait qu'être parfaite, douce, bonne, attentionnée et bienveillante auprès de ceux dont la garde lui était confiée. Depuis ses quinzes ans, elle s'occupa d'une dizaines de personnes environ. En passant par tous les genres d'être humain, qu'ils soient jeunes, âgés, féminins, masculins, grands, petits, et de quelque région du monde qu'ils viennent, la demoiselle s'assura de son travail avec brio. Particulièrement adroite dans la manifestation de signes divins, elle se refusa d'échouer, quelles que soient les conditions dans lesquelles elle se trouvait. Cela lui valut une réputation d'ange idéale. Elle devint le bras armé de la justice divine, ne craignant pas plus les Cerbères que les aléas du destin, et sauvant ses humains de l'enfer et de la damnation.
Le seul reproche que l'on pourrait lui faire, en cherchant à la discréditer à tout prix, ce serait d'être d'une froideur trop grande. Jamais elle ne s'est rapprochée sufisamment de ses "clients" pour parvenir à leur témoigner de l'affection ou quelque chose du genre. Pas plus qu'elle ne l'a fait pour ses semblables. Toujours, elle s'est montrée d'une sensibilité égale, sinon inexistance. Non pas parce qu'elle aurait été incapable de compatir aux douleurs et au bonheur, mais plutôt parce que l'indifférence vaux mieux selon elle. Les anges devraient être au-dessus des peines humaines et ne pas intervenir de trop dans leur existence dérisoire.
Hormis cela, rien ne vint troubler la paisible aventure de la jeune ange dans le monde des hommes. Son travail était d'une simplicité presque infantine. Pourtant, quelque chose vint remettre un peu de piment dans tout cela. Cela qu'elle pensait ne plus avoir à considérer comme son frère refit parler de lui. Le discrédit tomba un temps sur sa famille. Il avait trahi son peuple et Divinity. Ayane ne se remit jamais pleinement de ce choc.
Parce qu'elle ne pouvait plus considérer ses géniteurs comme des êtres aussi parfaits, pour avoir permis qu'arrive une telle chose à leur fils, elle coupa le cordon avec eux. Désormais, seul son travail d'ange compta pour elle. Les dernières années de service, son trouble ne fit que s'accroître. Elle se demanda comment Tsubasa, dont le prénom lui était revenu comme par enchantement dans ce cauchemar, avait pu se laisser tenter par le vice à ce point. Etait-il si ridicule que cela ? Etait-il un imbécile ? Elle ne voulait y croire me ne pouvait que le penser. Un jour, elle en était certaine, elle le retrouverait. Elle le punirait pour avoir agit de la sorte et passerait sa colère. Elle ne devait pas garder sa rancoeur pour elle. C'était un péché qu'elle ne pouvait accepter. Elle n'était pas comme lui. Elle ne faillirait jamais à sa tâche, et son devoir était de le faire payer pour tout. Oui, c'était une certitude. Il devait subir un purgatoire pire que l'enfer...

Famille : Sa mère, son père, et... son frère, paraît-il.


Pseudo : Euh... Alana, Ayane ?

Comment avez vous connu le forum : Par un partenariat.

Votre avis sur son graphisme :Je le trouve un peu simple et uniforme. Ca manque un peu d'images dans les catégories, selon moi.

Ainsi que sur son contexte :Je l'ai trouvé intéressant (c'est pour ça que je suis là), même s'il est un peu spécial. Mais c'est aussi le fait de pouvoir jouer un personnage prédéfini qui m'a attiré, vu que je ne l'ai jamais fait.

Présence sur le forum : Je ne sais pas trop. Seul l'avenir le dira =3
Mais si je suis lancée dans le rp, je serai active, promis.

Un second compte? : Non.

Code caché : Validé by Lune A.

Merci à vous !

Désolée pour cette faute de pokémaniaque. J'espère qu'elle vous a fait rire autant que moi, dans tous les cas.

Merci encore pour m'avoir validée malgré le mélange dans le code. Et aussi pour la rapidité de cette validation.

Je ferai en sorte d'être active sur le forum, prierai et ferai tout mon possible pour qu'il vive. Si je peux aider à quelque chose, ce sera avec plaisir.

Noch ein mal, Danke Schön !